Lorène Chesnel est étudiante à la Maîtrise en sciences de la communication, cheminement médiatique, à l’Université de Montréal. Elle a obtenu son diplôme en médiation et production culturelle à l’Institut d’Études Supérieurs des Arts à Paris. Passionnée d’art et de culture, Lorène est sans cesse à l’affût d’innovations digitales, d’artistes inspirants et de phénomènes culturels et sociaux pour nourrir des recherches et l’élaboration de nouveaux projets captivants. Son travail de recherche s’intéresse aux nouveaux médias et technologies de l’information et particulièrement aux développements techno sociaux des arts.
Les travaux de recherche-création d’Albertine se situent au croisement du matérialisme historique et de l’ésotérisme des mèmes. Son travail est une exploration ⎼ludique et critique⎼ des rituels médiatiques du capitalisme tardif et du folklore numérique. En examinant les “nouveaux médias” obsolètes et contemporains, Albertine révèle des modèles de comportement mémétique, soulignés par certaines tendances et blagues historiquement récurrentes.
Albertine est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal, complété par un certificat en philosophie. Son parcours académique s’est poursuivi avec deux masters, en analyse politique et en humanités numériques, tous deux obtenus à l’Université Paris VIII.
Hubert est un candidat au doctorat en communication à l’Université de Montréal et un chercheur financé par le programme Joseph-Armand Bombardier (CRSH). Sa thèse de doctorat cherche à anarchiver une contre-histoire du nationalisme québécois dans les années 1960, en se penchant sur les infrastructures énergétiques et hydrauliques, ainsi que sur les cultures populaires et médiatiques de cette époque. En travaillant avec des approches queer et décoloniales, sa recherche s’intéresse aux relations entre énergie, territoires, affects et sexualités. Il détient également un baccalauréat en histoire de l’art et une maîtrise en études des communications à l’Université McGill. Il a publié dans Cultural Studies, Green Humanities, et COMMposite (à paraître). Il est affilié au Artefact Research Lab en études des médias et avec le Grierson Research Group sur les médias, les infrastructures et l’environnement. Il est également impliqué dans des regroupements de militantisme écologique et queer.
Esther Joly-Petit a intégré le programme de Maitrise en sciences de la communication option communication médiatique de l’Université de Montréal en septembre 2018. Elle est diplômée d’une Licence information et communication (équivalent du baccalauréat) de l’Université Paris 13 – Sorbonne Paris Cité (juin 2018). Au fil des années et de son apprentissage, elle a développé un intérêt pour les diverses pratiques des utilisateurs sur les réseaux sociaux. Son travail de recherche portera sur le phénomène des influenceurs dit « life style » sur le média social Instagram.
Lorène Chesnel est étudiante à la Maîtrise en sciences de la communication, cheminement médiatique, à l’Université de Montréal. Elle a obtenu son diplôme en médiation et production culturelle à l’Institut d’Études Supérieurs des Arts à Paris. Passionnée d’art et de culture, Lorène est sans cesse à l’affût d’innovations digitales, d’artistes inspirants et de phénomènes culturels et sociaux pour nourrir des recherches et l’élaboration de nouveaux projets captivants. Son travail de recherche s’intéresse aux nouveaux médias et technologies de l’information et particulièrement aux développements techno sociaux des arts.
Les travaux de recherche-création d’Albertine se situent au croisement du matérialisme historique et de l’ésotérisme des mèmes. Son travail est une exploration ⎼ludique et critique⎼ des rituels médiatiques du capitalisme tardif et du folklore numérique. En examinant les “nouveaux médias” obsolètes et contemporains, Albertine révèle des modèles de comportement mémétique, soulignés par certaines tendances et blagues historiquement récurrentes.
Albertine est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal, complété par un certificat en philosophie. Son parcours académique s’est poursuivi avec deux masters, en analyse politique et en humanités numériques, tous deux obtenus à l’Université Paris VIII.
Hubert est un candidat au doctorat en communication à l’Université de Montréal et un chercheur financé par le programme Joseph-Armand Bombardier (CRSH). Sa thèse de doctorat cherche à anarchiver une contre-histoire du nationalisme québécois dans les années 1960, en se penchant sur les infrastructures énergétiques et hydrauliques, ainsi que sur les cultures populaires et médiatiques de cette époque. En travaillant avec des approches queer et décoloniales, sa recherche s’intéresse aux relations entre énergie, territoires, affects et sexualités. Il détient également un baccalauréat en histoire de l’art et une maîtrise en études des communications à l’Université McGill. Il a publié dans Cultural Studies, Green Humanities, et COMMposite (à paraître). Il est affilié au Artefact Research Lab en études des médias et avec le Grierson Research Group sur les médias, les infrastructures et l’environnement. Il est également impliqué dans des regroupements de militantisme écologique et queer.
Esther Joly-Petit a intégré le programme de Maitrise en sciences de la communication option communication médiatique de l’Université de Montréal en septembre 2018. Elle est diplômée d’une Licence information et communication (équivalent du baccalauréat) de l’Université Paris 13 – Sorbonne Paris Cité (juin 2018). Au fil des années et de son apprentissage, elle a développé un intérêt pour les diverses pratiques des utilisateurs sur les réseaux sociaux. Son travail de recherche portera sur le phénomène des influenceurs dit « life style » sur le média social Instagram.
Lorène Chesnel est étudiante à la Maîtrise en sciences de la communication, cheminement médiatique, à l’Université de Montréal. Elle a obtenu son diplôme en médiation et production culturelle à l’Institut d’Études Supérieurs des Arts à Paris. Passionnée d’art et de culture, Lorène est sans cesse à l’affût d’innovations digitales, d’artistes inspirants et de phénomènes culturels et sociaux pour nourrir des recherches et l’élaboration de nouveaux projets captivants. Son travail de recherche s’intéresse aux nouveaux médias et technologies de l’information et particulièrement aux développements techno sociaux des arts.
Les travaux de recherche-création d’Albertine se situent au croisement du matérialisme historique et de l’ésotérisme des mèmes. Son travail est une exploration ⎼ludique et critique⎼ des rituels médiatiques du capitalisme tardif et du folklore numérique. En examinant les “nouveaux médias” obsolètes et contemporains, Albertine révèle des modèles de comportement mémétique, soulignés par certaines tendances et blagues historiquement récurrentes.
Albertine est titulaire d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université du Québec à Montréal, complété par un certificat en philosophie. Son parcours académique s’est poursuivi avec deux masters, en analyse politique et en humanités numériques, tous deux obtenus à l’Université Paris VIII.
Hubert est un candidat au doctorat en communication à l’Université de Montréal et un chercheur financé par le programme Joseph-Armand Bombardier (CRSH). Sa thèse de doctorat cherche à anarchiver une contre-histoire du nationalisme québécois dans les années 1960, en se penchant sur les infrastructures énergétiques et hydrauliques, ainsi que sur les cultures populaires et médiatiques de cette époque. En travaillant avec des approches queer et décoloniales, sa recherche s’intéresse aux relations entre énergie, territoires, affects et sexualités. Il détient également un baccalauréat en histoire de l’art et une maîtrise en études des communications à l’Université McGill. Il a publié dans Cultural Studies, Green Humanities, et COMMposite (à paraître). Il est affilié au Artefact Research Lab en études des médias et avec le Grierson Research Group sur les médias, les infrastructures et l’environnement. Il est également impliqué dans des regroupements de militantisme écologique et queer.
Esther Joly-Petit a intégré le programme de Maitrise en sciences de la communication option communication médiatique de l’Université de Montréal en septembre 2018. Elle est diplômée d’une Licence information et communication (équivalent du baccalauréat) de l’Université Paris 13 – Sorbonne Paris Cité (juin 2018). Au fil des années et de son apprentissage, elle a développé un intérêt pour les diverses pratiques des utilisateurs sur les réseaux sociaux. Son travail de recherche portera sur le phénomène des influenceurs dit « life style » sur le média social Instagram.